Titre : Le Xéol (tome 3 du cycle d’Alamänder)
Auteur : Alexis FLAMAND
Editeur :L’Homme sans Nom
Nombre de pages : 347
Quatrième de couverture :
Auteur : Alexis FLAMAND
Editeur :L’Homme sans Nom
Nombre de pages : 347
Quatrième de couverture :
Encore vous ? Décidément, vous cherchez les ennuis.
A bord du Locust, improbable vaisseau filant à travers le
champ carnivore, Jon et ses compagnons sont engagés dans une course-poursuite
contre Vilo, le savant en bocaux. Sur leur route, les obstacles s’accumulent et
risquent de changer à jamais la face d’Alamänder. En première ligne, les
sinistres Xéols choisissent après toutes ces années de révéler leur vraie
nature. Yamataëh, rival titanesque d’Anquidiath, décide lui aussi d’entrer dans
la danse. Enfin, les Mehnzotains spéculent sur la fragilité du royaume et
lancent leur puissance thaumaturgique à l’assaut de la capitale.
Le tome 3 d’Alamänder voit l’horizon s’assombrir. Les enjeux
se précisent, les héros malmenés par l’ampleur des forces en présence tentent
de tirer leur épingle du jeu dans un univers original mêlant intrigues, action
et créatures étranges, sans oublier une bonne dose d’humour. Comme les
précédents, le présent ouvrage peut être la cause de perturbations physiques et
mentales. Ne venez pas vous plaindre ensuite.
Alexis Flamand, extraterrestre en visite sur notre planète, a pris forme humaine en 1970 mais s’est finalement retrouvé coincé dans son corps d’emprunt. Pour s’intégrer, il écrit des romans réalistes sur sa galaxie, que les humains considèrent comme des récits imaginaire de S-F ou de fantasy.
Ainsi, il publie Alamänder, un vibrant hommage aux épopées flamboyantes de Vance, Leiber et Zelazny. En attendant que ses compatriotes tombent sur l’un de ses écrits et viennent enfin coloniser votre ex-belle planète.
Alexis Flamand, extraterrestre en visite sur notre planète, a pris forme humaine en 1970 mais s’est finalement retrouvé coincé dans son corps d’emprunt. Pour s’intégrer, il écrit des romans réalistes sur sa galaxie, que les humains considèrent comme des récits imaginaire de S-F ou de fantasy.
Ainsi, il publie Alamänder, un vibrant hommage aux épopées flamboyantes de Vance, Leiber et Zelazny. En attendant que ses compatriotes tombent sur l’un de ses écrits et viennent enfin coloniser votre ex-belle planète.
A lire absolument si on aime :
Un univers barré mais logique dans sa barritude
La fantasy mâtinée de steampunk
Les intrigues construites et les coups de théâtre
A éviter si on cherche :
A éviter si on cherche :
Du classicisme
Des dragons
des héros indestructibles
L'avis du critique :
La suite du 1 et du 2. ;-)
Que dire ? Si vous avez lu mes fiches des deux premiers
tomes, vous devez déjà savoir tout le bien que je pense de cette série
complètement cinglée servie par une imagination jouissive. Nous retrouvons les
personnages que nous aimons, Jon, Edrick, Rachelle, Vance, Maek, Retzel, et le
remarquable roi Ernst XXX, qui incarne à lui seul la majesté du pouvoir et la
rouerie de la politique. Plus vrai que nature.
Comme je ne voudrais pas spoiler pour ceux qui n’ont pas
encore franchi le pas, sachez que vous trouverez dans ce tome 3 des armes de
destructions massives végétales, un psychopathe en bocaux (en fuite. Si, dans
Alamänder, on peut), plusieurs cataclysmes, des clins d’œil (ex un personnage
nommé Daniche, sachant que l’illustrateur du roman est Alexandre Dainche), des
jeux de mots, des dialogues tordants, un chapitre divin égaré au milieu
(d’ailleurs, le chapitre 12 est perdu), des portes dimensionnelles, un magicien
asiatique tisseur de concombres protecteurs, bref. J’allais recommander de
poser son cerveau avant de lire, mais ce conseil ne convient pas, au contraire.
Pour ce tome comme pour les autres, le lecteur se fera attentif pour capter la
moindre réplique dont la substantifique moëlle sera exploitée des chapitres ou
des tomes plus tard. Mémoire de poisson rouge, s’abstenir (ou alors faire comme
moi : envisager de tout relire !). C’est drôle, mais construit et
futé. Les personnages sont à l’avenant, hauts en couleur mais attendrissants.
Le petit plus du livre : quoi ? j’en n’ai pas dit
assez ?
Bon, je vais me répéter, hein, c’est une constante de la
maison, mais l’édition HSN et l’illustration de Alexandre Dainche sont à
tomber. Ces livres sont beaux, voilà.
Et bien sûr, la postface en forme de scènes supplémentaires,
délirante comme d’usage.
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