Juste une réflexion rapide à propos de l’état d’esprit où je
me trouve alors que je suis sur le point de commencer l’écriture du tome 2 de
Colonie(s).
J’ai l’impression que mon fichier encore vide de la moindre
ligne est comme un précipice. Comme si un pas de travers ferait sombrer mon
histoire. Derrière moi, mes personnages laissés en plein cliffhanger protestent
et me pressent de démarrer. Et moi, je ne sais pas où placer le premier pas. Ou
plutôt si, je sais, mais je ne vois pas aussi loin que j’aimerais, de l’autre
côté de l’histoire encore immatérielle.
J’ai oublié que le tome 1 m’a appris à voler. Pas très haut
ni très vite, mais je sais faire, maintenant.
Dans une des scènes d’Indiana Jones et la Dernière Croisade,
mon chouchou Indy doit effectuer le saut de la foi pour trouver le Graal et
sauver son père. C’est exactement l’image qui convient pour mon sentiment
actuel. (le petit carnet où il vérifie sa route, c’est mon synopsis, et Sean Connery qui agonise, ce sont Clara, Yul, Llo et les autres qui rouspètent... et en font un peu trop, 'faut pas exagérer non plus)
(NB : hum, tous les prétextes sont bons pour poster une vidéo de lui...)
Courage ! C'est un "mauvais" moment à passer, mais ça ira mieux ensuite :)
RépondreSupprimerMerci Crazy ! C'est intimidant, tous ces ksecs manquants ! ^^
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